la tristesse des uns est le divertissement des autres.






Quoi qu'en soit les raisons.
Oui je souffre , que voulez vous savoir de plus ?
HIM aurait dit : qu'il était la lune
Qui te peignait
De son éclat si pâle et vulnérable.
& qu'il Il était le feu
Turbulent et sauvage
Et toi tu étais comme un papillon de nuit pour cette flamme.

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Oui il à jeter à terre toutes promesses pour les piétinés.
Oui il à signer notre arrêt de mort.
Tandis qu'il danse dans les regards de son nouveau monde,
je n'avale plus rien, je dors à peine.

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Il est devenu plus qu'un inconnu , il est devenu un bourreau,
que je ne reconnais plus, que je peine à croire.
Son visage s'est assombris.
Il m'a dépossédée . Je suis dépossédée.

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Je ne connais pas ces gens , ceux qui ont fait de lui ce qu'il est maintenant.
J'en ai rien à foutre d'eux, rien à foutre d'elle, elle n'est rien juste une avaleuse de proie facile.
J'en ai rien à foutre d'eux .

Je me souviens juste encore de ses yeux noisettes remplis d'émotion, du meilleur qu'il m'aie offert , de sa tendresse, de sa douceur, de sa gentillesse, de ce premier appartement, de ce premier lui "Swanny !!!", de ces aller/retour en train, de sa tête le matin, de sa nature si fragile, de ce skate à la con, de ces programmes télé merdique blottie contre lui, de l'odeur de ses baisers, de ses attentions chaque jours un peu plus touchantes , ses petits mots sur le bureau, ces projets surréaliste, cette union improbable qui nous soudait tant. On en avait rien à foutre des gens, du moment qu'on pouvait être ensemble.
sa douceur, ses mains sur ma peau, sur mon corps, sa bouche sur ma nuque. J'ai été sa muse, il fut mon soutiens.

Comme je l'ai dis, j'en ai rien foutre des autres.

Qu'il se noie dans des joints, de l'alcool , des soirées entre "potes".
Qu'il m'extermine de sa tête et de son cœur, qu'il me tue de toute ses forces,
qu'il soit devenu séducteur d'un soir, qu'importe.

Je connais son vrai fond, je connais son vrai visage,
J'ai connut l'amour avec lui , comme nul part ailleurs.
Je sais qui il est en réalité.
Quel beau garçon. Quel doux personnage.

Lisez ce messages vous autres, riez aux éclats , soyez mauvais,
soyez heureux , soyez satisfait.
Pensez seulement que vous le posséder désormais, qu'il est à votre botte.
Seulement il vaut largement mieux que vous et un jour, il s'en rendras compte.
Vous ne lui arriverez jamais à la cheville, qui que vous soyez.

Il à perdu le chemin de la maison, il à juste perdu sa raison.
Il s'est convaincu du pire, pour ignorer le meilleur.
Il est retourné au point de départ. Cherchant le bonheur dans des endroits futiles,
des situations improbables, des inconnus arrogants, puérils, inutile.

Isolé, Dans un hôpital psychiatrique ou les médecins sont des fous.

On oublie pas les gens qui nous aimé sincèrement, ces gens qui on su accepter de vous le meilleur comme le pire.

Cet amour intense et magnifique, ne pouvais se finir que sur un accord apocalyptique.
Il fallait que ce feu ardent gèle d'un coup .
Il fallait que les petits détails gênant deviennent les grandes croisades de notre couple.

Tu sauras toujours, que je ne suis pas comme ces autres. je devrais te haïr, mais je te porte dans mon cœur, je devrais te remplacer, mais contrairement à toi, je ne sais pas mentir.
Je ne sais pas simuler l'amour, l'affection.
Tout ce qui viens de moi n'est que passion . Je ne donnerais pas ça à titre gratuit à n'importe qui.

Je garderais nos plus beaux moments dans une boite quelque part au fond de moi , j'y jetterais un œil de temps en temps. J'essaierais de porter sur toi un regard sans haine. Me contentant de me dire que c'est mieux comme ça.

Vous avez fait de lui ce qu'il n'était pas.
Vous autres, sur vos trône en cartons , croyant contempler les autres d'en haut, vous n'êtes que des rats, de vulgaire rats.

Vous autres, vous ne connaissez rien à l'amour, vous jouer à un jeu dont vous ignorez les règles. Vos simulacres, vos semblants m'écœure . Vos vaines attirances, qui se résume à des apparences, des cote de popularité inutile. Des photos sur une page virtuelle , une personnalité crée de toute pièce. Faites moi rire.

Il danse encore dans ma tête. je dois l'oublier puisque c'est ce qu'il souhaite désormais .
Je devrais lutter mais je ne crois pas avoir les armes.
Se résigné et fermer la porte. Sachant qu'il ne reviendras pas y frapper.
Se nourrir de l'absence , ne plus rien avaler.

S'accrocher.

Je m'accrocherais, puisque je me le dois.

Je m'accrocherais en souriant de mon mieux.

Quels triste vestige, des pleurs, des photos déchirées, quelques mots sur un bout de papier.
Je me ris de l'humain et de sa fausse complexité, tout est simple il suffit d'accepter.
Je me ris des gens, je ne les estime pas .
Continuez de prétendre.



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Tu te trompe de chemin.
Tu te trompe.
tu te trompe, tu te trompe, tu te trompe, tu te trompe, tu te trompe BORDEL !
Tu te trompe tellement. Et tu le sais en plus . Tu fais semblant de pas le savoir.
Tu te sens vivant ? pour combien de temps ?
Tu te sens libre ? Libre de vivre au travers d'apparences, libre de t'enfermer dans une personnalité fictive.

C'est pas toi ! C'est pas toi ! Je te dis que c'est pas toi !
On le sait tous. Tu n'es pas comme ça. c'est une comédie de mauvais goût.
& C'est pas toi. . .

C'est triste. C'est pas comme ça.

L'Amour tu es en rêvais GROS COMME CA ! Tu ne te contentais pas .
Chaque parcelles, de petits sentiments, tu le transformais en théâtre grandiose.
Tu rêvais de toucher les étoiles, tu rêvais de vivre chaque instant comme si le lendemain n'existait pas. T'aurais fais pulser ton cœur au rythme du mien si t'avais pu.

Pourquoi te faire du mal ?
Pourquoi me faire du mal ?

Pourquoi nier l'existence de "NOUS" aujourd'hui.
Tout ça pour quelques phrases flatteuses sur un facebook, des soirées arrosées, des filles faciles. Ce dont tu me disais ne jamais avoir besoin, ce que tu jugeais et méprisais.

___ Oui c'est mieux ainsi.____
Si tel est ta volonté désormais.




Tu me dirais dans cinq si ça valait le coup.
Après avoir tout vu, tout constaté .
Les gens sont ainsi. Insatisfait de ce qu'ils ont, ils se trouvent de nouveaux but à la con.
Le bonheur ne s'invente pas.
Il ne faut pas détruire ce qu'on à acquis, pour des gains miséreux.


__Mais oui, que je suis une grande fille, oui je m'en remettrais.__
Heureusement quand même.


Il ne reste que cet article pour en témoigner.

Je suis fatiguée. La fleur est fané mais le parfum demeure.

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